Au lever du rideau, une jeune fille rentrée du bal, vaincue par la fatigue, s’endort dans un fauteuil.
Dans son rêve, la rose qu’elle tient à la main devient un génie qui lui prodigue des caresses et qui disparaît à l’aube.
Argument de la première représentation par les Ballets russes de Serge de Diaghilev, le 19 avril 1911 à l’opéra de Monte-Carlo.
« Le 19 avril 1911 dans la salle du Palais Garnier de Monte-Carlo, Nijinski laissait le public pantois devant la toute première représentation du Spectre de la rose.
Le temps a depuis laissé la place à de nombreuses interprétations et il n’est pas un ballettomane qui nait une version fétiche chevillée au cœur...
Le Spectre de la rose est pour moi une sorte de sas, une porte du temps, une quatrième dimension me permettant de communiquer avec cette période clé de l’Histoire de la danse. »
LA PRESSE EN PARLE
« Le ballet possède une indéniable force dramatique et réussit la gageure de se confronter à un chef-d’œuvre immortel sans pâlir. »
Le Figaro
«Cette danse est si belle, si libre, si actuelle qu’on sort de la salle envoûté. »
Les Saisons de la danse
« Nostalgie amusée, dérision légère, climat étrange : une réussite. »
Le Monde
« « Une gestuelle superbement audacieuse, nerveuse et rigoureuse, qui allie classicisme et post-modernisme à outrance, traverse la pièce d’un seul trait. »
Le Devoir