Le Spectre de la rose

Création 1993

Pièce pour 6 danseurs
Chorégraphie Angelin Preljocaj
Musique Carl-Maria Von Veber
Interprétation L'Orchestre Philharmonique de Berlin
Direction Herbert Von Karajan
Création sonore Marc Khanne
Scénographie Dominique Gay
Réalisation décor et costumes Les ateliers de l'Opéra de Paris-Palais Garnier
Lumières Jacques Chatelet
Choréologue Dany Lévêque
Danseurs à la création Nataly Aveillan, Philippe Combes, Nadine Comminges, Sarah Ludi, Roger Nilsson, Angelin Preljocaj / Franck Chartier
Commande de L'Opéra de Paris-Palais Garnier
Spectacle créé en résidence au Théâtre de la Passerelle-Gap
Coproduction Opéra de Paris-Palais Garnier, TNDI Châteauvallon-Toulon
Avec l'aide à la création du Ministère de la Culture et de la Communication-direction de la Musique et de la Danse (Fonds de promotion chorégraphique) et de la Fondation Paribas
Durée 20min
Première le 05 avril 1993, Opéra de Paris

Au lever du rideau, une jeune fille rentrée du bal, vaincue par la fatigue, s’endort dans un fauteuil.
Dans son rêve, la rose qu’elle tient à la main devient un génie qui lui prodigue des caresses et qui disparaît à l’aube.

Argument de la première représentation par les Ballets russes de Serge de Diaghilev, le 19 avril 1911 à l’opéra de Monte-Carlo.

« Le 19 avril 1911 dans la salle du Palais Garnier de Monte-Carlo, Nijinski laissait le public pantois devant la toute première représentation du Spectre de la rose.
Le temps a depuis laissé la place à de nombreuses interprétations et il n’est pas un ballettomane qui nait une version fétiche chevillée au cœur...
Le Spectre de la rose est pour moi une sorte de sas, une porte du temps, une quatrième dimension me permettant de communiquer avec cette période clé de l’Histoire de la danse. »

Angelin Preljocaj

LA PRESSE EN PARLE


« Le ballet possède une indéniable force dramatique et réussit la gageure de se confronter à un chef-d’œuvre immortel sans pâlir. »
Le Figaro

«Cette danse est si belle, si libre, si actuelle qu’on sort de la salle envoûté. »
Les Saisons de la danse

« Nostalgie amusée, dérision légère, climat étrange : une réussite. »
Le Monde

« « Une gestuelle superbement audacieuse, nerveuse et rigoureuse, qui allie classicisme et post-modernisme à outrance, traverse la pièce d’un seul trait. »
Le Devoir

Autour de la création