« Dans le domaine de la peinture, les natures mortes (Still Life en anglais) représentent parfois une allégorie de la mort, du temps et de la vacuité des passions.
À partir du XVIIe siècle, la notion de finitude et l’aspect dérisoire de la vie constituent un genre à part entière : « les Vanités ». Les objets représentés sur les toiles symbolisent dès lors des activités humaines avec des éléments évoquant le temps qui passe : la fragilité, la destruction, la guerre et le triomphe de la mort.
Ces mêmes problématiques sont en jeu dans cette création. Les corps des danseurs laissent sourdre une écriture chorégraphique spécifique, une réflexion sur ce que nous disent aujourd’hui ces symboles ancestraux. »
LA PRESSE EN PARLE
« Angelin Preljocaj signe encore une chorégraphie léchée, peuplée de réminiscence. »
Zibeline
« Une réussite qui fait appel à l’art pictural. Ce ballet, extrêmement bien dansé, (…) doté de sublimes pas de deux, s’attire les faveurs du public. Avec raison. »
Le Figaro
« Preljocaj surprend avec une pièce qui mêle ces allégories de la mort avec une bonne dose d’érotisme (…). »
Danser Canal Historique
«Fort belle et emmenée par de magnifiques danseurs, nul doute que Still Life recevra le même vaste succès que La Fresque (…). La salle d’ailleurs, lui offre une véritable ovation le soir de la première. »
Danse avec la plume